Un cheval qui a senti l'écurie...
Prêt à pendre la mer depuis deux mois, François rencontre encore quelques difficultés à embarquer sur un bateau pour la Guadeloupe. Deux semaines après avoir écrit à son père pour lui annoncer bientôt son arrivée, il lui adresse un nouveau courrier l'informant que faute d'avoir trouvé un moyen de voyager, il n'a pas encore pris le départ vers les Antilles.
Sans doute pour les mêmes raisons que la précédente, cette lettre n'est pas localisée. Elle semble donner le change en précisant qu'il a bien visité les nombreux monuments, musées, et lieux historiques du pays où il se trouve, mais sans indiquer lequel...
Néanmoins, la guerre est finie et il n'a jamais été si près de partir. Piaffant d'impatience, il se compare à « un cheval qui a senti l'écurie »...
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